Skateboarding is not a crime
D’abord pratiqué par quelques surfeurs sous le soleil californien dans les années 50, le skate se démocratise au fil des années jusqu’à devenir une véritable mode populaire. Pourtant, au tournant des années 80 tout bascule ! L’effet de mode s’essouffle, l’industrie et la presse spécialisée s’effondrent, le skate devient un loisir underground de quelques passionnés. Emerge alors une nouvelle culture skate, avec un idéal libertaire, un esprit trash et de débrouille. Le skate ne se limite plus aux skateparks, toute la ville peut être skatée, pour le plus grand bonheur des riverains et de la police. Aujourd’hui cette culture skate existe toujours, mais son côté trash et rebelle a aussi été récupéré à des fins de marketing, des pubs à la télé, jusqu’aux défilés de mode. Alors, pour reprendre la devise de Thrasher magazine, le skate est-il encore « Skate and Destroy » ?
Au programme
– vendredi 24 février –
projection · Courts-Métrages
19h – 20h · Charolais Club
Sélection du Paris Surf & Skateboard Film Festival
gratuit
live · The Rabblers
21h – 21h45 · Charolais Club
gratuit, sur inscription
dj set
22h – 00h30 · Long Courrier
– dimanche 26 février –
atelier · initiation skate
12h – 14h · Charolais Club
5 euros, sur inscription
projection · Long Métrage
14h – 15h · Charolais Club
Sélection du Paris Surf & Skateboard Film Festival
gratuit, sur inscription
animation · Skatepark
16h – 19h
Un skatepark en accès libre dans la Halle du Ground, avec un contest pour pimenter l’après-midi, à ta planche !
entrée libre
rencontre · Le skateboard est-il toujours une contre culture ?
15h – 16h · Charolais Club
De la rue aux JO, des parks aux podiums de la fashion week et jusque dans les musées, que reste-t-il de la culture skate ?
gratuit, sur inscription
skatepark en accès libre
Quand ?
rencontres et animations les 24 et 26 février
exposition du 4 février au 31 mars